Il n’est personne à qui le Yi Jing ne puisse être utile !
Un accompagnement pour les jeunes…
…de 7 à plus de 77 ans !
Il n’est personne à qui le Yi Jing ne puisse être utile !
Nécessités, accidents ou désirs soudains, les circonstances changent à chaque instant.
Et chacun de nous y réagit avec ce qu’il est, là, dans l’instant.
Avec le temps, j’ai appris une chose essentielle : Dans cette double relation entre le monde et moi, j’ai la possibilité de changer ce qui ne tient qu’à moi. C’est cette part, presque inconsciente, et qui revendique son existence !
Ce sentiment est très simple à reconnaître : il suffit de se pencher sur notre quête quotidienne avec lucidité, avec douceur, avec courage aussi.
Alors comment trouver, face à une situation complexe ou confuse, une interprétation vivante qui ne soit pas déjà écrite par quelqu’un d’autre, ni plaquée de l’extérieur comme un jugement ou une injonction ?
Parmi les aides possibles, il en est une, précieuse, millénaire, poétique et chinoise : le « Yi Jing », le Livre des Changements.
Corps et âme (Body and Soul)
Une question que l’on ne résout pas peut aussi être considérée comme négative. Alors, apaiser ou tonifier ? On retrouvera sous une autre forme les grands principes de la santé selon la Chine ancienne.
Depuis plus d’un demi-siècle, des pratiques comme le Qi gong, le Yoga ou les arts martiaux se sont ancrées dans nos vies. Elles rappellent toutes une évidence : le corps et l’esprit ne sont pas séparés. Prendre soin de l’un, c’est déjà agir sur l’autre…et vice-versa !
C’est dans cette continuité que s’inscrit le Yi Jing. Il ne s’agit pas d’une croyance venue d'ailleurs, ni d’un exercice purement intellectuel, mais d’un accès à notre unité intérieure.
Éclairer une décision, dissiper un doute, mieux comprendre ses propres questions : ces démarches ne concernent pas seulement la pensée. Elles participent aussi à la vitalité. En médecine chinoise, les cinq organes vitaux – cœur, reins, rate, foie, poumons – sont des fonctions physiologiques et psychologiques imbriquées. Ils reflètent nos émotions, nos choix, nos comportements.
Le Yi Jing, tout comme les autres arts chinois de santé, relie les mouvements du corps, de l’âme et de l’esprit. Il éclaire leurs interactions, parfois de manière énigmatique, mais toujours dans une dynamique de vie.
Chercher la réponse à une question, c’est d’abord écrire cette question.
La formulation est décisive, car elle conditionne la clarté du tirage. Selon les situations, nous pourrons la préciser ensemble.
Les questions que l’on se pose sont nombreuses, parfois encombrantes. Elles reviennent souvent autour des mêmes grandes thématiques, mais c’est la manière dont chacun les vit qui les rend uniques. C’est précisément ce moment intérieur que vient saisir le tirage d’un hexagramme.
Ces interrogations peuvent provoquer des réactions vives ou, au contraire, nous enfermer dans une forme d’obsession. Vous exprimerez donc votre question de manière concise. Ce moment est essentiel : il peut être immédiat, ou nécessiter un bref échange préalable — en présence ou en visioconférence.
Vous procéderez ensuite au tirage.
Je vous en restituerai alors l’analyse, accompagnée de propositions d’action.
La consultation du Yi Jing ne résout pas les choses à votre place, ni ne prédit l’issue d’une situation.
Elle éclaire un instant, aide à en percevoir les dynamiques, et vous invite à vous positionner.
Tous les détails vous seront fournis lors d’un premier entretien
Trouver une réponse à la question posée nécessite ce que l’on appelle un tirage, pourtant il s’agit en fait d’un calcul. Le fonctionnement précis et les significations seront détaillés ailleurs, dans une page spécifique et au moment de la consultation.
Le tirage se déroule en deux temps :
Aucune connaissance préalable n’est requise. Si vous êtes familier du Yi Jing, cela pourra peut-être enrichir l’échange, mais cela n’est en rien indispensable.
Une question se pose souvent à ce stade — une question fréquente, parfois déstabilisante : celle du hasard.
Peut-on vraiment accepter de s’en remettre à des pièces jetées devant soi pour trouver une solution à nos problèmes ?
La tradition chinoise propose une manière toute simple de dépasser ce doute : Chaque acte, même apparemment aléatoire, reflète la situation réelle de celui qui agit, à l’instant précis où il agit.Autrement dit, ce que nous appelons hasard peut aussi être vu comme un miroir de ce que nous vivons.
Et si nous observons nos existences avec attention, on peut observer que les événements les plus significatifs — agréables ou non — sont arrivés sans crier gare !
Comme par hasard !
Les petits ou grands maux qui se répètent font que l’on finit par en connaître le déroulement. Peut-être finissent-ils aussi par nous questionner ? Et nous voilà, essayant les uns après les autres, médicaments et médecins, pratiques alternatives et conseils d’amis. Ainsi mon médecin ne s’imaginait pas qu’en me conseillant de prendre un rendez-vous avec un acupuncteur, j’allais entamer un long trajet jusqu’en Chine !
Première aiguille ! Aïe, j’oublie le torticolis immédiatement, mais il y en aura d’autres, d’insensibles et des cruelles, celles à l’angle des ongles souvent !
Revenant le voir 3 semaines plus tard, certains symptômes ont disparu, mais il faut consolider le traitement.
Ce point, je m’en souviens encore, et d’autres me firent ressentir l’étrange sensation d’un léger massage intérieur du haut de la poitrine.
Rapidement, je m’aventurais à questionner le très sympathique médecin sur les origines de cette médecine. Tout comme la piqûre m’avait convaincu, l’histoire millénaire de cette curieuse thérapeutique m’enchanta. Hasard supplémentaire : ce point se nomme Zhong Fu, c’est le N° 1 du méridien du poumon, Palais du milieu. Et, c’est l’homonyme de l’hexagramme 62 du Yi Jing, Juste confiance. Ils se prononcent légèrement différemment !
Peu de mois après ma rencontre avec la médecine chinoise, j’ai entendu parler d’une gymnastique chinoise qui serait basée un peu sur les mêmes principes que l’acupuncture. Entre temps, j’ai écrit un petit article qui raconte ces lointaines origines des méthodes de santé chinoise et publié dans une petite revue écologique. Mais c’est quoi le Tai Ji Quan ? Des mouvements lents, codifiés et basés sur la respiration qu’on exécute en groupe en Chine, dans les parcs. Alors oui, cela m’intéresse ! J’en fais part à ma kinésithérapeute qui pratique une méthode douce, d’allongement des chaînes musculaires, du sommet du crâne jusqu’aux talons et lui demande ce qu’elle pense de cette gymnastique chinoise. Elle m’a répondu que c’était une « gym pour les vieux ». J’ai la trentaine, mais l’histoire me plaît et c’est la rencontre avec des kinés qui donnent des cours de ce Tai Ji ! Je ne quitterai plus la pratique de cet art !